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Sanaa K, le talent qui se dessine

« Ma vie illustrée« , c’est ainsi que la graine de talent défraie la chronique avec son blog éponyme : Sanaa K. Datant du 8 février 2009, le blog de la franco-marocaine nous raconte sa vie à travers des dessins qui font l’unanimité auprès de son fidèle lectorat. Portrait.

Une ambitieuse parisienne

Si Sanaa plaît, c’est parce qu »elle évoque les anecdotes d’une jeune parisienne originaire du 94 et assoiffée d’ambitions. Tantôt drôle, tantôt délirante, elle nous montre à travers ses dessins son quotidien.

Un univers hétéroclite

En plus d’une culture urbaine assez intensive et un goût prononcé pour la mode, elle nous faire part de son univers, où l’on découvre une Sanaa caméléon. En effet, ses news parlent de recettes de cuisine, de cinéma, de voyages, de beauté, de musiques, de mode, d’art, de société… rien n’est laissé au hasard.

Un voyage géographique et artistique

Les filles en sont accrocs et lui rendent bien. Dans ses carnets de voyages, elle évoque ses passages aux États-Unis, à Londres et au Maroc. Toujours entourée de ses amies, et surtout de sa fidèle Ney, elle sillonne l »actualité avec ses crayons. Et elle ne s’arrête pas de dessiner que ce soit entre sa soirée d’Halloween à Los Angeles ou pendant ses achats massifs à Londres. Sanaa fait aussi de ses racines un nid d »inspirationUn amour pour le Maroc qu’elle ne renie pas. Elle évoque sa passion pour la culture et l’artisanat marocain, mais aussi pour l’espace de l’Atlas.

Une mystérieuse artiste plébiscitée

Si elle suscite l »engouement et la curiosité des lectrices, cette jeune artiste a toujours était discrète sur son identité. Un mystère qui marche et qui confirme sa signature. Vous pouvez la suivre son blog mais aussi dans Fricotte mag, Mademoizelle, et d’autres. Elle est aussi illustratrice et c »est avec talent qu’elle réalise la couverture de Pintades à Moscou de Madeleine Leroyer et d’autres ouvrages. Si la toile est un univers de jeunes talents, Sanaa en est l »exemple. Elle crée une nouvelle dimension avec sa mine de crayon et nous prouve que le dessin est bel et bien un langage universel.